Une ballade improvisée [PV Geist]

Ce matin, je m'éveillât assez tôt, pour faire le tour de mes terres. Je me leva et décidât de manger et de boire puis vérifier si tout allait bien avant de partir. Tout les poulains dormait encore et certain chevaux était levés.]Je partit en direction de la cascade, je trottait depuis un moment et décida de galoper un coup. Je parti très vite et l'Aigle me vit, nous commençâmes une course effrénée. Alors que lui volait tout droit moi je devais slalomer entre les buissons et sauter les troncs. Enfin je m'arrêta , il avait gagné, encore une fois. Je partit tranquillement à la cascade qui n'était plus très loin. Je but un peu et au momant où j'entrait dans l'eau, un bruit m'alerta :

"- Qui est là ? Montre toi ?"

Le vent soufflait dans le sens du bruit, je ne sentait donc pas l'odeur de cette chose...

Geist sauta des buissons:

"-Ben alors papa tu me reconnais même plus ?
-Geist ! Tu m'as fait peur ! Qu'est-ce que tu fait ici ? Tu n'es pas avec maman ?"

De toutes évidence, elle avait feinté pour me trouver... *Ah les pouliches...* Bon au point où on en était...

"-J'ai compris, tu veux venir c'est ça ? Bon d"accord mais une seule condition : la prochaine fois demande moi ce sera mieux."

Je m'étonna quelle ai put me suivre lors de ma course avec l'aigle:

"- Comment as tu fait pour me rattraper pouliche ?"

J'aiamis bien l'appeler comme ça...

Elle me dit :

"-J'voudrais bien mais a chaque fois t'es trop occupée avec le troupeau, je sais que tu fais ton rôle mais n'oublie que ta une fille, moi.

-Demain on partira tout les deux, promis !"

Geist en avait assez d'être tout le temps dans le troupeau...

Puis elle me répondit :

"-Papa ! D'abord mon nom est Geist, tu vois tu es trop occupé sur ton troupeau que pour moi. Tu m'ignore. Dans ce cas je ne dirais pas comment je t'es rattraper.

-Oh Geist, raconte moi et je te promet de t'attendre tout le temps pour le tours des terres et de passer plus de temps avec toi si tu veux."

Elle était triste de ne jamais explorer les terres, j'aurai du m'en douter...

Je la poussa dans l'eau et je me jetta dedans en disant:

"- Tu ne m'attrapera pas !"

J'espérait que ma pouliche me suivrait.

Elle redémarra en me passant entre les pattes et en criant qu'elle ne me dira pas *C'est moi ou bien cette pouliche à le caractère de sa mère ?*. Elle galopait devant moi et je trouva alors qu'elle galopait encore plus vite qu'avant.
Je la rattrapa en lui disant :

"- Dit c'est super, tu t'améliore ! C'est toi qui a raison Geist, je ne m'occupe pas assez de toi, tu m'en veut pas trop ? Si tu veux, dans quelques jours, je t'emmènerais dans une partie du territoire assez loin du troupeau. Tu veux ?"

Connaissant Geist et son envie de tout explorer, je me disait que la proposition lui plairait. Ça me faisait mel de voir qu'elle était triste de ne jamais partir un peu...

Geist s'éloigna un peu :

"-Ok mais c'est moi qui t'enmême."

Elle partit vers la frontière et je trotta à ses cotés:

"- Bon d'accord mais si je te dit que c'est dangeureux et que tu rentre tout de suite au troupeau tu le fait, promis ?"

Je continua dans ma lancée et sauta par dessus un petit buisson. Geist avait l'air très contente de sa balade improvisée.
J'huma l'air et ne senti aucune trace d'homme ou de couguar, tout allait bien.

Nous arrivames à la frontière des solitaires:

"-Alors on es où ?

-On vient d'arriver au terres des solitaires, en général, il sont gentils mais reste bien avec moi, si je te dit de rentrer l'aigle ira avec toi, c'est une bonne idée."

Geist marchait prudemment à mes cotés, elle découvrait ce territoire.

"-Les solitaires ne sont dans aucun troupeau et doivent se débrouiller seuls, tu imagine bien que pour les jument qui mettent bas ce n'est pas pratique. Il arrive aussi que des petits groupes de trois ou quatre chevaux se forment; ils restent ensemble et se protègent, même si souvent c'est une famille qui reste ensemble."

Puis je me remit à avancer et ébouriffa les crins de Geist.

Geist vit le Saul Pleureur et vit ses feuilles bouger. Elle revient au grand galop et se cacha derrière moi :

" -L'arbre est vivant !

- Ne bouge pas de là Geist, je vais voir ça..."

J'alla vers l'arbre et entendit un feulement:

"-Un couguar ! Cours Geist ! Va vers le grand sapin il y a l'aigle et attend moi !"

Je me retourna au moment où le couguar m'attrapa la jambe, je lui envoya une ruade en pleine tete et alla rejoindre ma pouliche.

"- Geist tu n'as rien ?"

Je m'inquiétai pour elle mais ma jambe me faisait très mal.

La vue de ma jambe déstabilisa Geist. Elle me proposa de rentré au troupeau.

"- Très bonne idée, tu as encore raison pouliche... Ne t'inquiète pas pour ma jambe, j'ai vu pire elle ma fait juste un peu mal, on la mettra dans l'eau."

Je sentait encore la douleur, mais ce n'était que des dégâts partiels. Tant mieux !

"-Ah oui, j'avais oublier, le grand sapin, c'est le gros touffu là bas en face. Tu le vois ?"

Je pris Geist contre mon poitrail et la garda près de moi un bon moment.

Geist me dit de rentrer et elle partit avec l'aigle. Ma jambe douloureuse étaiy enflammée et c'était pas afréable. Si Petit Nuage pouvait quelque chose pour moi ce serait sans refus. Tant que je n'irais pas chez les indiens.

Je marchai et j'était encore bien loin du troupeaux. L'aigle me rejoignat et je rentra avec lui. Arrivé à la cascade, je vit tout le troupeau ici. Parfait ! C'était un très bon endroit pour tout le monde. Je fit le tours du troupeau, remettant les poulains à leurs places et vérifiant que tout le monde était là. Puis je me rendit vers Geist et Rivière.
Je souffla dans les naseaux de la petite et lui dit:

"-D'accord je ne t'appellerai plus pouliche, c'est promis! Et je suis sure que tu sera une très bonne chef plus tard, tu connais bien ton autorité."

Je souffla longuement, fatigué par ma marche.

[Désoler pour le retard]

Geist me mit une plante à la jambe. Elle était fraiche ! Et elle me faisait du bien...
Puis la petite se coucha contre sa mère et elle s'endormit. Je surveillat le troupeau. Je dormi un peu, laissant la garde à ma mère.

En me réveillant, je partit manger plus loins en attendant Geist, je n'allais quand même pas laisser tomber ma patite Geist ! Elle me rattrapa et elle me questionna:

"-Alors, ça va mieux toi ?

-Beaucoup meiux Geist, merci. Aujourd'hui tu décide par quel endroit on commence !"

Elle était passer sous mon ventre et contre mon poitrail. Je le souffla dans les naseaux.

Elle me dit alors :

"-Attrape moi si tu peux petite limace baveuse !

- Tu va voir ce qu'elle va te faire la limace !"

Elle passa entre les jambes de Rivière et zig-zagua. Ma mère ria de voir sa petite-fille de si bonne humeur et je me lançât à sa poursuite au galop. Elle arrivât devant le foret et s’arrêta net. Elle m'attendait. Je la rattrapa et je vit une ombre. Un eu soucieux de la rencontre du puma. Je me mit instinctivement devant Geist. Un animal approchait, de plus en plus. Il sorti et c’était... un hiboux !Nous avions du le deranger. Je me tourna alors vers ma puliche et lui dit:

"-Au fait, tu as sentit l'odeur du puma hier ? Souviens toi en et arrange toi pour ne plus jamais la sentir !"