Spirit, l'aventure continue Une fois revenue sur ses terres, Spirit eut une fille du nom de Geist mais les ennuis reviennent... |
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| Au milieu du vide [Pv Fuego] | |
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Geist
☆ Admin fonda' | Pouliche & soeur de Hawk
Messages : 308 Date d'inscription : 11/08/2010 Age : 28 Localisation : Chez mon père
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| Sujet: Au milieu du vide [Pv Fuego] Ven 29 Oct - 12:13 | |
| Un soleil radieux inondait la plaine de Spirit, mon papa. Je n'ouvrais pas les yeux, laissant croire a mes parents, ma grand-maman Espèranza ainsi que le troupeau, que je dormais encore sous l'emprise du marchand de sable. J'écoutais le moindre petit bruit. Le moindre chuchotis, le moindre cliquetis, le moindre bruissement, enfin le moindre son qui pourrait me dire que mes parents et mes nounous n'étaient plus autour de moi. Aucun son de souffle de naseaux, aucun ronflement, aucun claquement de queue fouettant la croupe d'un équidés dans le coin. J'ouvris doucement les yeux. Personne.
Je décida de lever ma tête tout doucement, histoire de ne pas attirer l'attention sur moi. Personne ne jetait de coup furtif sur moi visiblement. Mes pattes se dressèrent légèrement, mes sabots touchèrent l'herbe grasse et haute de la plaine. Je fis un pas. Toujours rien. Je décida de m'étirer un peu les pattes. Je sentais l'odeur de papa non loin de là, je décida donc de faire un détour par la cascade que de traversée la plaine. Une fois arrivée prés de l'étendu d'eau, mon petit naseau effleurât l'eau fraîche et ma langue projeta les gorgés dans ma gorge a demi asséchée. Une fois que j'eus bien bue, je décida de manger un peu. L'herbe n'étais pas ce que je préférais mais il ne fallait pas que mes parents me voient sous peine qu'ils me collent toute la journée. Mes dents arrachèrent plusieurs brindilles toute fraîche de la rosée du matin. Mon ventre ou plutôt mon estomac, était à moitié remplit et en était bien content malgré tout.
*Sa devrait me faire tenir toute la journée au moins.* pensai-je.
Je repartit, cet fois vers la forêt. Je la connaissais bien depuis que je l'avais visité avec papa. Je m'y engouffra, tournant en rond. Je faisais en sorte que mon odeur se sente de partout, ainsi mes parents mettront un bon bout de temps avant de sentir la bonne odeur où j'irais. Une fois la forêt traversé, ma balade ce fit à la plage. J'aimais beaucoup cet drôle d'odeur qui m'entourait. Un crabe sortit du sable et ce déplaça vers la rive de l'océan. Je me demandais bien où il allait comme sa mais si je restait trop longtemps ici, mes parents me verraient. Je prit un galop léger, histoire de ne pas trop dépensé d'énergie au cas où il y aurait un danger. Il commençait à faire chaud, je compris que j'étais prêt du canyon. Un tunnel s'ouvrer devant moi, j'empreinta ce chemin. La chaleur devenait accablante. Je mit un bon bout de temps avant de trouver une sortie. Stupéfaite, je découvris les terres d'Apache devant moi. Je préféra contournais, on ne sait jamais, si je revoyais ce Falling, je le fuirais comme la peste ! Au loin je distingua les cow-boys, je préférai m'aventurer là-bas. J'entendis des chevaux galopé mais ils étaient enfermés, les pauvres. Je continua mon aventure vers leurs petits bois. Il y avait des chemins en tout genre qui circulait a droite et à gauche. Un bruit s'approcher. Un cheval ! Son pas semblait irrégulier, en tout cas pas le même son que ceux d'un sauvage, son claquement résonné dans ma tête, c'était horrible ! Je fis le triple galop et fonça droit sur le cheval. Il était pie alezan visiblement mais je préféra m'enfuir encore plus que de l'admirais. Une fois le petit bois finis, je ne m'arrêta pas pour regarder derrière moi. Je franchis une colline et découvris un village, celui des indiens. Je ne voulais toujours pas m'arrêter, papa disait que dès qu'il nous voyait, il ne nous quitter plus et nous traquerait pour longtemps s'il le faut. Une pomme tomba pile devant moi. Mes sabots freinèrent. Me sentant plus en sécurité, je fis une petite pause et mangea une pomme. J'avais tellement peur que ce cow-boy me suive je repartis à mon galop. Cet fois j'étais près d'une grotte mais l'endroit était tellement lugubre que je préférais partir d'avantage. Il y avait une marre non loin et j'avais horriblement soif après cet petite aventure. Je plongea dans l'eau,nageant un peu pour me rafraîchir. J'entendais encore ce clapotement dans ma tête, je crus qu'il me suivait encore ce bipède que je m'enfuis à nouveau. Il y avait des falaises maintenant mais je ne pouvais faire demi-tour sans penser revoir cet étalon de tout à l'heure. Je tomba sur un cul de sac mais en voulant faire demi-tour, un éboulement ce produisit. J'étais coincé.
-Au secours !! A l'aide !! criai-je.
Qui m'entendrai dans un endroit pareille ? Je distingua une silhouette. Je reconnut l'étalon de tout à l'heure.
-Vous... Vous êtes l'éta... l'étalon de tout... tout à l'heure... Vous... Vous me voulez... Quoi ?! balbutiai je.
J'avais peur mais je résistait quand même, je voulais mettre un peu de courage dans mes paroles innocentes. | |
| | | Fuego
| Jeune Ado' | |Un Cow-Boys Pas Sympas |
Messages : 38 Date d'inscription : 28/10/2010
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| Sujet: Re: Au milieu du vide [Pv Fuego] Sam 30 Oct - 10:34 | |
| || Le soleil se mit soudain a éclairer mon box. Je clignai plusieurs fois des yeux avant de voir une silhouette ouvrir les volets de ma stalle. Je me leva et m’ébroua pour enlever la fine couche de poussière qui s’était déposer sur ma robe pendant mon sommeille. Je bailla, m’étira, puis marcha vers la porte de mon box. Je regardai dehors, passant la tête à travers l’ouverture mais surpris par la fanfare et le bruit de la trompette, je rentrai vite ma tête dans mon box. Je la secoua fortement, encore tout abasourdis, puis regarda les chevaux défilés. Il était en rythme, tous. Leur pas était parfaitement accordé et leur tête était haute. Devant, il y avait l’étalon du colonel. Il me tailla de toute sa hauteur puis, comme si je n’étais qu’une vulgaire pierre, il détourna ses yeux pour regarder droit devant lui. Je rigolai intérieurement en secouant la tête. Qu’il pouvait être bête ! Être un cheval respecter, ça na pas que de bonnes conséquences. D’accord, tu n’as aucun risque d’être agressé par un méchant, mais tu dois te lever avant l’aube pour parader. Et le pire dans tout ça, c’est qui parade comme des paons qui font leurs roues, ce qui énerve les juments. Moi, elle m’aime bien. Surtout Kadi. Et moi aussi je l’aime bien. Non, on n’est pas amoureux ! On est amis. C’est pas elle la jument qu’il me faut. Elle est une très bonne amie, mais … Je ne l’aime pas comme si j’en étais amoureux. Elle est comme une petite sœur pour moi !
|| Tom se rapprocha de ma stalle, mon licol dans une main et ma boite de pansage dans l’autre. Tom, c’était mon cavalier. Je l’adorait : il avait toujours une petite friandise dans sa poche ! Je me demandai ce qu’il allait me donner ce matin ! Je piétinai fort le sol. On n’entendait plus que le claquement de mes sabots contre le pavé. Ouais, j’ai la sale habitude de regrouper toute la paille dans un coin du box pour dormir dessus. Tom, en arrivant, me sourit et m’ébouriffa le toupet. Je lui attrapai quelque mèche de ses cheveux roux puis tira affectueusement dessus. Il poussa un petit gémissement avant de faire une fausse tête de personne fâchés. Je lui souffla dessus puis ouvris mon box moi-même. Tom me mit mon licol puis en me caressant l’encolure, il m’entraîna dans le corral. A cette heure ci, tout le monde venait avec son cheval dans le corral pour les penser, ce que fit Tom. Il me frotta longuement avec l’étrille pendant que je mangeai dans un seau l’avoine qu’il m’avais auparavant servi. L’étrille finie, il me passa le bouchon sur le ventre, le flanc, l’encolure, les ars, la croupe. Bref, tout le corps sauf les pattes et la tête. Ensuite, il prit la brosse douce puis me la passa sur les même endroit que le bouchon. Ensuite, Tom me passa la brosse sur la tête et les pattes, me nettoya les yeux et les naseau avec un chiffon puis me cura les pieds. J’étais tout beau, sans vouloir me vanter !
|| Tom me sella en vitesse puis monta sur mon dos. Il me fit partir au petit trot et m’emmena dans la carrière. Il me fit trotter pendant dix bonnes minutes puis me lança au galop. Je me sentais léger, plus léger que l’air ! Le galop, malgré ce qu’on dit, ne me fatiguait pas du tout. Au contraire, plus je galopais, plus j’avais envie de courir ! En faite, il n’y avait qu’avec moi que ça faisait cet effet. Au moins, je suis sur de ne pas me fatiguer lors des chasses et des regroupement de bétail. D’ailleurs, c’est ce qu’on allait faire. On allait regrouper le bétail aujourd’hui ! J’adore sa ! Il faut savoir ou vas le bétail, qu’est ce qu’il va faire, et des fois, il faut lui courir après ! J’adore les choses simples. Genre galoper : j’adore, surtout quand Tom me lâche les rênes et lève les bras. J’adore sauter, et me baigner. En faite, j’aime a peu près tout ce que je fait, sauf chasser les chevaux. Je trouve que arraché un cheval à sa libertés, c’est mal, très mal. Et puis, croyez en mon expérience, c’est difficile de s’habituer. J’ai mis plusieurs mois avant de trouver ma place et de me sentir chez moi ! En plus, les autres chevaux ne t’aiment pas au début et, si tu es dans un box avec d’autres chevaux, tu ne peux pas manger ni boire ! C’est souvent les cow-boys qui sont obliger d’intervenir … Moi, ça va : j’ai été intégrer à un box une place et je n’ai donc pas eu ce problème.
|| Une fois mon échauffement terminer, Tom me fit marcher vers d’autre chevaux. La porte s’ouvrit, mais personne ne bougeait. C’est quand un coup de feux retenti dans les airs que tout le monde partit au grand galop. Tout le monde savait où il devait aller pour récupérer les vaches. Nous, nous partions avec Tom vers les chemins de balade et de chasse. Il n’y avait pas beaucoup de vache dans le coin, mais elle n’était sûrement pas loin. Je guettais le moindre mouvement de l’air, le moindre bruit de feuille. J’humais l’air à la recherche d’odeur qui pourrait nous mettre sur une piste, quand j’en sentis une. Ce n’était pas l’odeur d’une vache, mais d’un cheval, un cheval sauvage. Je pilai, puis regarda une petite pouliche passer à toute allure à côtés de moi. Le temps que Tom réagisse et qu’il me fasse faire demi tour, la pouliche n’était plus la. Tom haussa les épaules, redressa son chapeau puis me mit au galop. Je galopais doucement, toujours à l’écoute de ce qu’avais à me dire le vent. C’est là que je ut entendre, au loin, une vache beugler. J’emportai Tom vers la vache. Il y en avait trois : le trois que l’on devait trouver. Je fit mon travaille et les regroupait, doucement mais sûrement. Une fois les trois vache regrouper, on se dirigea vers le fort. Les vache était calme et obéissante, ce qui nous permis de rentrer plutôt vite. Arriver au fort, on rentra le bétail dans un enclos assez éloignés pour ne pas que ceci nous dérange. Les entendes meugler toute la journée n’est pas l’une des activités que je préfère, et ce n’est pas super reposant …
|| Tom me donna une pomme. Avec tout ce que nous avions à faire, il avait oublier de me la donner ce matin même. Je la mangea goulûment avant lui frotte ma joue contre son épaule. Il me tapota l’encolure puis me dessella. Il me passa une éponge humide sur l’endroit ou il m’avait attaché la sangle puis m’essuya avant de me lâcher dans le prés. Je galopai en rond, décochant des ruades par ci par la, sautant en l’air puis roulant sur le dos. J’aimais bien être dans le pré. C’était reposant et calme. Mais j’eu soudain une envie de libertés. Je me rapprocha de la porte puis l’ouvrit discrètement. Je marcha vers la porte du fort et la poussa de toutes mes forces. Elle s’ouvrit en grinçant et, quand j’eu assez de place pour passer, je me cabra et hennis le plus fort possible avant de partir au grand galop vers mes terres natales. Bien sur que j’allais revenir, je n’allais pas laisser Tom tout seul ! Je galopais, crinière au vent, vers la forêt. Je ralentis quand j’entrai dans celle-ci. Je me rapprochai d’une petite clairière. Arrivé à celle-ci, je m’arrêtai. Voila où j’étais née. C’est là que ma mère, une jument blanche comme neige, a donné la vie a un poulain : moi. Je souris en repensant à tout ces bons moments que j’avais passé en ça présence. Elle me manquait terriblement … Je souffla puis m’allongea un petit peu pour repenser à tout ça. Je leva la tête vers le ciel et versa une larme en son honneur avant de me lever. Je m’ébroua puis fit demi tour avant de repartir au grand galop vers mes falaise. J’aimais cet endroit car il y avait rarement quelqu’un.
|| Arrivé aux falaises, je ralentis pour éviter tout éboulement. Je marchais tête basse pour me détendre, tout simplement. C’est alors que j’entendis des pierres tombes. Une petite voie appelait à l’aide. Je descendis les falaises à tout allures et arriva à mon endroit préférer. On coinçais toujours les chevaux sauvages là : c’était le cul de sac. J’aime bien coincés les chevaux sauvages, ce qui me permet de me sentir supérieur, mais après, je fais vite demi tour pour éviter que Tom attrape le cheval ! Des pierres bloquaient le passage. Je regarda par-dessus celle-ci et réussis à apercevoir la pouliche de tout à l’heur. Je me cabra et posa ma patte sur les roches. Je les tira vers moi et libéra le passage à la jeune pouliche.
-Vous... Vous êtes l'éta... l'étalon de tout... tout à l'heure... Vous... Vous me voulez... Quoi ?! - Moi ? Rien ! C’est toi qui a faillis me foncés dedans toute à l’heure …
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| | | Geist
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| Sujet: Re: Au milieu du vide [Pv Fuego] Mar 2 Nov - 10:32 | |
| [Tu le joue toujours aussi bien ton dadou ♥_♥] - Moi ? Rien ! C’est toi qui a faillis me foncés dedans toute à l’heure …
Ouh ! Ah mais nan ça va pas le faire là, il se prend pour qui ou quoi lui ?!
- J'ai pas foncées déjà, j'ai fais mon triple galop, je suis pas une fusée. D'ailleurs ! Tu m'as pas pourchasser ? Pourtant papa Spirit dit que dès que les cow-boys nous voient, ils nous traque jusqu'à nous attraper, il a pas fais sa ton bipède ? Il est où au faite ?
Eh voilà. Pie comme je suis je me suis laissé emporter. Je me suis rendu compte que ce n'était qu'après ma réponse, que j'avais posé plusieurs question, il va répondre a la moitié sûrement. Je me dégagea de mon cul de sac pour me balader un peu non loin de l'étalon. En rentrant j'allais me faire gronder sa c'est sûr. Un bruissement soudain entre deux pierres me firent frémirent. Je dressa mes oreilles et fit demi-tour, me blottissant entre les jambes de l'étalon? J'avais beau faire ma forte et courageuse, je n'en étais pas moins peureuse. Le bruissement n'étais en faite que un petit porc-épic qui sortait de son petit nid.
-Ou ah c'est fou comme j'ai peur de n'importe quoi moi ! | |
| | | Fuego
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| Sujet: Re: Au milieu du vide [Pv Fuego] Mer 10 Nov - 14:46 | |
| - J'ai pas foncées déjà, j'ai fais mon triple galop, je suis pas une fusée. D'ailleurs ! Tu ne m’as pas pour chasser ? Pourtant papa Spirit dit que dès que les cow-boys nous voient, ils nous traque jusqu'à nous attraper, il a pas fais sa ton bipède ? Il est où au faite ?
|| Comme si je n’avais pas vu qu’elle n’était pas une fusée ! Et c’est quoi toute ces questions ? A par la dernière, ça ne la concerne pas ! Je secoua ma tête de droite à gauche en bronchant puis la vit s’extirpé du cul de sac puis marcher en direction de la sortie. Bon débarras ! J’aime bien les pouliche, mais alors elle, elle aurait plus être plus sympas, je lui ai quand même sauvé la vie ! J’aurais pu la laisser crever là pendant que je me baladais tranquillement ! Je m’ébroua puis la regarda partir. Un petit animal fit se frictionné plusieurs feuille. La pouliche coura vers moi et se cacha entre mes pattes. Je la regarda puis regarda le buisson en question. Un porc épique sortit de celui-ci puis gambada tout droit, suivant un petit chemin tout tracé. Je recula puis me mit a côtés de la pouliche. Je la regardai assez sérieusement.
- Alors, primo, oui t’as vraiment peur de tout. Deusio, on t’as pas pourchasser, mon bipède comme tu dit n’aime pas ça. Et tresio, il est au fort, alors si tu veux bien m’excuser, je vais sûrement aller le rejoindre.
|| J’avoue que le fait qu’elle ne m’a pas remercié, ça m’ai resté au travers de la gorge. Je fit demi tour puis marcha vers le cul de sac. Je cognai mon flanc contre le mur de pierre, ce qui provoqua un petit éboulement. Je sauta sur une grosse roche qui était tombés puis grimpa sur une allé fine. Je marcha agilement tout droit, passant à côté de la pouliche, puis sauta sur une sorte d’escalier. Je gravie les marches une par une puis arriva tout en haut. Il y avait un petit sentier sableux qui donnait vu sur une plaine multicolore. Je m’allongeai là, observant l’horizon. Au loin, on voyait une silhouette. C’était le fort, toujours en agitation. | |
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